MB Race, la course la plus difficile au monde

La MB Race est aujourd’hui Co organisée par SPORTOPTIMUM. Fondateur et dirigeant de l’agence spécialisée dans la promotion et le développement des événements sportifs, Stéphane PICOT témoigne sur l’engouement des “ Ultra Epreuves ” auprès des sportifs de tous horizons.

Depuis notre création, il y a maintenant 10 ans, nous avons vu naître le phénomène de l’Ultra et suivi la fascination qu’il exerce auprès des sportifs, quelque soit leur niveau ou leur discipline d’origine.

Sa principale caractéristique est sa capacité à rassembler, puisqu’elle ne cesse d’attirer de nouveaux adeptes. Elle révèle aussi une approche di-fférente de la compétition. Seule une minorité joue le classement. La majorité des engagés ont comme objectif de finir. C’est ainsi qu’une nouvelle population de vainqueurs est née : les finishers.

Le challenge étant d’aller au bout de soi-même. Le paramètre “ nature” est aussi important. Que ce soit par les sites de compétition (qui sont souvent des lieux d’exception) ou par les éléments naturels (pluie, neige, nuit, froid…) qui apportent une certaine dramaturgie et font, des compétiteurs, de véritables aventuriers. A notre sens, la plupart des disciplines sportives sont et seront touchées par cet e-ffet “ Ultra ”. C’est une clé pour régénérer la dynamique de recrutement d’un sport et accéder à de nouveaux pratiquants.

Ainsi la MB RACE bénéficie pleinement de ce phénomène. Car au-delà des vététistes, de nombreux traileurs sont présents. D’ailleurs, la presse Trail s’ouvre au VTT. On retrouve également des triathlètes, des fondeurs ou encore des amateurs de ski de randonnées. Mais il faut souligner que la MB RACE bénéficie d’un atout exceptionnel. Elle dispose d’un site hors du commun, puisque sur plus de 90 % du parcours, les coureurs ont en toile de fond le toit de l’Europe, le Mont-Blanc.

Par cette vague de l’Ultra, le vélo va rentrer définitivement dans l’Outdoor pour son plus grand succès. La preuve, la MB Race séduit de plus en plus de partenaires qui ne sont pas issus du monde du VTT, c’est une véritable bou-fée d’oxygène. Les stations de Combloux à Praz-sur-Arly en passant par Megève ne s’y trompent pas. Elles ont perçu le potentiel de l’épreuve. Que ce soit en animations villages ou sur le plan économique, en termes d’hébergement par exemple, les retombées sont importantes. La vague de l’Ultra n’est pas un phénomène de mode. Elle cadre avec les motivations des sportifs en créant des passerelles entre les disciplines. Et notre époque a besoin de passerelles. Peut-être plus encore que d’ascenseur social.

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