Sur un vélo : Voir et être vu

L’éclairage de vélo, un sujet crucial pour garantir la sécurité du cycliste.

Ces dernières années, entre l’apparition de LED et l’amélioration des batteries, cet accessoire loin d’en être un a beaucoup évolué. Reste à choisir le type d’éclairage qui vous conviendra le mieux. Comment choisir son éclairage vélo, quelle puissance, quelle technologie, dynamo ou pile, LED ou halogènes ? Existe-t-il que les lumières vélo pour mieux se faire voir ? Le choix est pléthorique, et nous allons tâcher d’y répondre, et notamment pour vous aider à choisir dans notre gamme d’éclairage vélo. Pour vous donner une première indication dans votre choix, il faut savoir que les très bons éclairages coûtent facilement entre 50 euros et 100 euros, mais déjà entre 15 et 20 euros on peut trouver un éclairage de base, voire un éclairage très efficace pour les éclairages multi-LED sur roue qui démarrent à 39,90€.

1/ Comment connaitre la puissance lumineuse dont on a besoin ?

Le code de la route ne donne aucune précision sur la puissance d’éclairage, ni l’alimentation électrique. Les normes industrielles du secteur cycle prévoient que la tension d’alimentation soit de 6 Volts et la puissance électrique au moins de 3 Watts, mais comme le rendement n’est pas précisé, un éclairage peut très bien être agréé... et insuffisant. A titre d’exemple les normes allemandes, généralement plus sérieuses et plus pragmatiques, imposent quant à elles un éclairage d’au moins 10 lux à 10m. Pour bien voir votre chemin, si vous empruntez des routes mal éclairées, il vous faudra des phares d’au moins 20 Lux. Pour un usage occasionnel de nuit en centre-ville bien éclairé, un phare amovible de 4 Lux peut être suffisant. A vous de faire preuve de discernement.

2/ Piles ou dynamo ?

Les piles constituent une bonne solution si vous roulez peu (2 à 3 fois par semaine). Pour les cyclistes quotidiens, les accus rechargeables s’imposent. Sachez que 20 à 40h d’utilisation suffisent pour amortir des piles rechargeables. Certains nouveaux éclairages se rechargent aujourd’hui sur des ports USB. Autre nouveauté recente, les éclairages s’allumant automatiquement, en les clipsant ou déclipsant, ou grâce à un système de fixation par aimants. L’éclairage dynamo est le meilleur choix pour les vélos de ville et de cyclotourisme, la dynamo est montée à demeure sur le vélo, on peut compter sur un éclairage intégré au vélo, autonome et toujours disponible, ce qui s’accorde avec l’utilisation régulière d’un vélo.

3/ Technologie LED ou lampes halogènes.

Fini le temps de la petite lumière blanc pâle pour éclairer notre chemin. Si les phares à ampoule halogène existent encore, il est indéniable que le futur est aux LED (Light Emitting Diode, ou DEL). Leurs avantages sont considérables : elles sont très peu gourmandes en énergie, peu sensibles aux chocs, et leur durée de vie théorique est quasi-infinie, ce qui justifie leur prix parfois élevé.

4/ Les éléments réfléchissants.

Ils sont indispensables pour votre sécurité. Ce sont généralement des catadioptres. Ils n’éclairent pas mais réfléchissent beaucoup la lumière. La législation impose d’en disposer à l’arrière (rouge), sur les côtés (fixés sur les rayons ou collés d’origine sur les pneus), sur les pédales (orange), et également devant (blanc). De sorte que vous soyez visible dans les phares d’une voiture.

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