Lance Armstrong, The Boss

Interview du Texan en exclu !

Les Jeunes Reporters du Tour de France vivent une aventure exceptionnelle sur le Tour de France ! Si la rédaction la plus jeune de la Grande Boucle n’a pas froid aux yeux, elle n’hésite pas non plus à faire preuve d’opportunisme. Quentin, jeune journaliste de la Rochelle, a eu l’occasion de rencontrer Lance Armstrong en tête à tête pour une interview sur le pouce.

Culturevelo.com vous livre son article ! Sensations garanties.

C’est comme un rêve qui se réalise. Une rencontre dont on sort fier, grandi. Une telle rencontre, pour un Jeune Reporter ! De l’autre côté des barrières, face aux caméras, je "pose" aux côtés d’un grand coureur du peloton. Devant le car Astana, photographes et journalistes se ruent pour décrocher le précieux sésame. Enfin, Lance Armstrong se retourne vers moi, me serre la main, l’interview peut commencer...

Lance, quel est votre ressenti sur ce Tour de France ?

Je pense que l’équipe a de bonnes relations avec le public. Il y a beaucoup de supporters et de fans. C’est même très joli à voir.

Quand vous avez annoncé votre retour dans les pelotons, n’étiez-vous pas effrayé d’être une nouvelle fois critiqué par les Français ?

Non, je ne pense trop à ça. Je pensais qu’il y aurait beaucoup d’animosité, mais non. Je me sens très bien et les gens en ont l’habitude. Moi je profite de leurs encouragements.

N’était-ce pas un nouveau départ pour vous, ce Tour de France ?

J’attendais ce moment depuis trois ans, mais là je me sens très bien. C’est encore intéressant, et être là est quelque chose qui me plaît.

Les médias parlent beaucoup de vous et indirectement d’Alberto Contador, n’est-ce pas trop pénible ?

Les gens aiment beaucoup avoir des choses à raconter. Et nous, nous offrons au public une sorte de show télévisuel.

Dernière question, pourquoi ne pas parler français ?

Je parle un petit peu, mais ce n’est pas encore très bon. Je connais quelques mots mais ils sont très simples. J’aime quand même le français...

Une autre poignée de main de sa part pour conclure l’échange. Je pars, émerveillé. La foule se disperse et je prononce quelques mots. Alain Gallopin, directeur sportif de la formation Astana, avant de monter dans sa voiture, s’approche, me félicite, et m’avoue que peu ont ce privilège...

Quentin

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